Quelle convergence entre l’ascète yogi tibétain Milarepa et Madame Guyon, la grande mystique chrétienne ? entre Ramana Maharshi et le célèbre soufi Al-Hallâj ? Quel dénominateur commun à ces êtres hors de l’ordinaire qui, de façons apparemment tellement différentes, ont gravi les échelons menant à la réalisation ultime ? Ne s’agit-il pas d’une question de la plus haute importance ? s’interroger sur ce qu’est réellement le cœur d’une pratique et sur ce qui relève d’un contexte culturel ?
dimanche 19 septembre 2010
Celui qui Me voit partout - Bhagavad Gitâ
“Celui qui Me voit partout et voit tout en Moi, pour lui Je ne suis jamais perdu, de même qu’il n’est jamais perdu pour Moi.”
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire