Quelle convergence entre l’ascète yogi tibétain Milarepa et Madame Guyon, la grande mystique chrétienne ? entre Ramana Maharshi et le célèbre soufi Al-Hallâj ? Quel dénominateur commun à ces êtres hors de l’ordinaire qui, de façons apparemment tellement différentes, ont gravi les échelons menant à la réalisation ultime ? Ne s’agit-il pas d’une question de la plus haute importance ? s’interroger sur ce qu’est réellement le cœur d’une pratique et sur ce qui relève d’un contexte culturel ?
lundi 11 octobre 2010
Udana Sutta - Le Bouddha
Il existe, ô disciples, une sphère sans terre ni eau ni chaleur ni air, car elle est au delà du domaine de la matière . Ce n'est pas la sphère de l'espace infini ou de la pensée infinie, car elle est au delà du mental). Ce n'est pas une condition de néant ni l'état de ce monde ou d'un autre monde, ni soleil ni lune, c'est l'Incréé.
Cette condition, je l'appelle ni apparition ni disparition, ni naissance, ni mort. Elle est sans forme et sans changement. C'est l'Eternel qui jamais ne naît et jamais ne meurt. La trouver, c'est la fin de la souffrance.
Il y a, ô disciples, un non-né non-créé, non-formé et inconditionné. S'il n'y avait pas ce non-né, non-créé, non-formé et inconditionné, il n'y aurait pas transcendance du monde pour ce qui est né, créé, formé et conditionné.
Mais puisque, ô disciples, il y a le non-né, non-créé, non-formé et inconditionné, il peut y avoir transcendance pour ce qui est né, créé, formé, et conditionné.
Parole du Bouddha Udana Sutta
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tres belles histoires mais c'es l'islam le vrai chemain
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